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Si le pouvoir français n'a pu nier le génocide contre les Tutsi, il a refusé de voir les crimes contre l'humanité commis en Yougoslavie, alors que les mêmes hauts fonctionnaires étaient à l'œuvre dans la gestion des deux conflits, estime l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe dans une tribune au « Monde ».