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Vingt-cinq ans après l'opération Turquoise, l'armée française, accusée de partialité, voire de complicité de génocide au Rwanda, défend haut et fort « l'honneur » de ses soldats et revendique sa « vérité ». « Depuis cette affaire du Rwanda, la France et son armée sont attaquées de façon tout à fait injuste », a déploré le chef d'état-major des armées d'alors, l'amiral Jacques Lanxade, lors d'un colloque inédit réunissant des hauts gradés, le 14 juin aux Invalides à Paris.