lâchement assassinésau cours des événements et de l'épouse de l'un d'entre eux, ainsi que ceux des trois pilotes français présents dans l'avion du président rwandais abattu le 6 avril à Kigali.
abandon. La France est
présente pour une politique de coopération et de développementmais elle
n'a pas à être partie prenante dans les conflits, a-t-il dit.
gratitude pour les qualités humaines et le professionalismedes quelque 500 militaires français ayant participé à l'opération.
la nécessité pour la Francede maintenir en Afrique des forces
pré-positionnéespour pouvoir intervenir plus rapidement en cas de crise.
origine est difficile à déterminer avec précision. Il n'ont fait
aucun blessé ni destruction de matériel, a-t-il ajouté, en précisant que des
négociationsétaient en cours avec les parties
pour permettre la fin des évacuationsdes étrangers.
les forces armées françaises n'ont jamais été directement impliquéesdans le conflit rwandais, M. Léotard a indiqué que la France avait avec ce pays
une coopération militaire établie de longue date, avec des
actions de formation classiques.
Nous essayons actuellement de dialoguer avec tout le monde pour éviter que le bain de sang se développe, a déclaré le ministre de la Défense en rappelant qu'il n'y avait
pas de solution militaireau conflit.
Il n'y a pas d'alternative à la reprise du dialogue politique, a-t-il ajouté en soulignant le rôle nécessaire de l'OUA et de l'ONU.
bon élève de l'ONU, est
disposéeà participer à une éventuelle force de paix dans le pays, a dit M. Léotard, ajoutant que la demande
n'a pas été faite pour le moment. Il a enfin souhaité
le maintien de la MINUAR (Mission des Nations Unies pour l'assistance au Rwanda) sous une forme qui reste à définir.
fgtquery v.1.9, 9 février 2024