Citation
Thierry Jouan du Service Action de la DGSE écrit dans "Une vie dans l'ombre" :
« Tout au long de ma carrière au sein du 11e Choc et du C.P.E.S. de Cercottes
(centre parachutiste d'entraênement spécialisé) c'est-à-dire d'août 1987 à
1999...» (p. 78)
p. 79, il dit que Le 1er RPIMA, le 13e RDP et le 1er RCP sont les viviers du
Service Action.
p.82
« [Le 11e Choc] est recréé le 1er novembre 1985sous l'impulsion du général R. I.
(René Imbot)...»
http://fr.wikipedia.org/wiki/11e_r%C3%A9giment_parachutiste_de_choc
dit que l'unité recrrée s'appelle 11e RPC (Régiment parachutiste de choc)
mais Jouan l'appelle toujours 11e Choc faisant allusion notamment à l'attaque
de la grotte d'Ouvéa en 1988 (p. 90)
p. 228 :
Lors de la première évacuation, la direction était Potumjara (Bujumbura)
pour les enfants et le reste des rescapés devait partir vers Gukoséra
(Gikongoro). Malheureusement une partie de ce dernier convoi a pris la
direction du Boulanga (Burundi) et a été intercepté par les milices et dévié
vers une route secondaire. L'escorte militaire a certainement manqué de
vigilance à cet endroit, continuant son chemin vers le Boulanga avec les
enfants. Sur cette route, plusieurs soeurs bénédictines ont été tuées. Je
ne me souviens plus du nombre (sept ou huit ?)
p. 237
Madame, sachez que j'ai foi en la France » et qu'il n'a pas
foi en des personnes qui ont été à la fois « génocidaires » et « génocidés ».
« Ils s'entretuent depuis des siècles », ajoute-t-il.
En plus tu aurais insinuer que nos militaires auraient pu remettre des soeurs
ou des abbés à des génocidaires (p. 237).