Fiche du document numéro 35288

Num
35288
Date
Dimanche 10 juillet 1994
Amj
Hms
13:00:00
Auteur
Fichier
Taille
14762
Pages
1
Sur titre
Journal de 13 heures [1/2]
Titre
Alain Juppé : « Il faut que les agences humanitaires des Nations unies et les grandes organisations non gouvernementales se mobilisent ! »
Nom cité
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Lieu cité
Mot-clé
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ZHS
Résumé
- An eighth guest at the G7, Boris Yeltsin, to discuss international politics: Rwanda, Bosnia, and Algeria are the three hot topics discussed here in Naples.

- Rwanda: to solemnly call for a ceasefire, demand a political settlement, request the deployment of UN forces, and advocate an increase in humanitarian efforts.

- Alain Juppé: "There are currently more than a million refugees in the Safe Humanitarian Zone, which is protected by French soldiers. We need 500 tons of food and medicine every day. There is a risk of an epidemic. France cannot do this alone! The UN humanitarian agencies and major non-governmental organizations must mobilize! Because this is the number one emergency on the planet right now".
Source
Fonds d'archives
INA
Type
Transcription d'une émission de télévision
Langue
FR
Citation
[Philippe Harrouard :] [La vidéo débute au milieu du reportage] […] un huitième invité, Boris Eltsine, pour parler politique internationale [on le voit aux côtés de Bill Clinton et de Silvio Berlusconi] : le Rwanda, la Bosnie, l'Algérie sont les trois dossiers brûlants évoqués ici à Naples.

Le Rwanda : pour appeler solennellement à un cessez-le-feu, réclamer un règlement politique, demander un déploiement des forces de l'ONU et prôner une augmentation des efforts humanitaires [on voit notamment Helmut Kohl, François Mitterrand puis Jacques Delors dans une grande salle de réunion].

["Alain Juppé, Ministre des Affaires Etrangères", répondant à un journaliste : "Et il y a plus d'un million de réfugiés actuellement dans la Zone humanitaire sûre, qui est protégées par les soldats français. Il faut 500 tonnes de vivres et de médicaments jour. Il y a des risques d'épidémie. La France ne peut pas faire cela toute seule ! Il faut que les agences humanitaires des Nations unies et les grandes organisations non gouvernementales se mobilisent ! Parce que c'est la première urgence actuellement sur la planète".]

[…]
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