Sous titre
Des représentants du FPR, qui se trouvaient hier à Paris, ont réaffirmé que leur mouvement considérerait les soldats français come des « ennemis », et n'ont pas exclu la possibilité d'« affrontements ». À leurs yeux, la France agit une fois de plus en soutien du régime du président Habyarimana, assassiné le 6 avril.