Sous titre
Offrir un peu de nourriture ou de réconfort, un refuge provisoire, un accueil protecteur, étancher la soif, extraire un nourrisson des cadavres, mentir, donner une information précieuse ou un conseil opportun, recouvrir dignement le corps des morts… De l’infime geste de secours jusqu’au sauvetage : le spectre des actes de bienveillance vis-à-vis des persécutés est très large. L’aide apportée, si ténue et fugace soit-elle, a néanmoins parfois existé et permis à certains de survivre. En présence de Félicité Lyamukuru, d’Annie Ngaruye, de Gloriose Umugwaneza, et Beata Umubyeyi Mairesse. Animée par Amélie Schafer, psychothérapeute et Régine Waintrater, psychanalyste, maître de conférences à l’université Paris 7 Diderot. En partenariat avec Ibuka.
Citation
Dans le cadre de la 27e commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda. Offrir un peu de nourriture ou de réconfort, un refuge provisoire, un accueil protecteur, étancher la soif, extraire un nourrisson des cadavres, mentir, donner une information précieuse ou un conseil opportun, recouvrir dignement le corps des morts… De l’infime geste de secours jusqu’au sauvetage : le spectre des actes de bienveillance vis-à-vis des persécutés est très large. L’aide apportée, si ténue et fugace soit-elle, a néanmoins parfois existé et permis à certains de survivre. En présence de Félicité Lyamukuru, d’Annie Ngaruye, de Gloriose Umugwaneza, et Beata Umubyeyi Mairesse. Animée par Amélie Schafer, psychothérapeute et Régine Waintrater, psychanalyste, maître de conférences à l’université Paris 7 Diderot. En partenariat avec Ibuka.